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Croy Hill Roman Fortlet at the Antonine Wall, Scotland
#Croy Hill#roman#romans#roman living#roman fort#roman soldiers#roman culture#archaeology#Antonine Wall#Scotland#earthworks#landscape#outdoors#ancient cultures#ancient sites#roman ruins#roman empire
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G’eth Character Name Bank
First Names
Masculine Names
Alfred, Andrew, Arlo, Arthur, Balthazar, Barry, Ben, Benedick, Bernard, Burchard, Cedric, Charibert, Crispin, Cyrill, Daegal, Derek, Digory, Drustan, Duncan, Edmund, Edwin, Elric, Evaine, Frederick, Geffery, George, Godfreed, Gregory, Guy, Harris, Harry, Horsa, Hugh, Humphrey, Iago, Jack, Jeremy, John, Kazamir, Kenric, Lawrence, Leoric, Lorik, Luke, Lynton, Lysander, Madoc, Magnus, Maukolum, Micheal, Miles, Milhouse, Mordred, Mosseus, Ori, Orvyn, Neville, Norbert, Nycolas, Paul, Percival, Randulf, Richard, Robert, Roderick, Stephen, Tennys, Theodoric, Thomas, Tristan, Tybalt, Victor, Vincent, Vortimer, Willcock, Willian, Wymond
Feminine Names
Adelin, Alice, Amelia, Beatrix, Beryl, Bogdana, Branwyne, Brigida, Catalina, Catherine, Claudia, Crystina, Deanna, Desdemona, Elaine, Elinora, Eliza, Enide, Eva, Ferelith, Fiora, Freya, Gertrude, Gregoria, Gueanor, Gwen, Gwendolyn, Hannah, Hegelina, Helen, Helga, Heloise, Henrietta, Igraine, Imogen, Jacquelyn, Jane, Jean, Jenny, Jill, Juliana, Juliet, Katie, Leela, Lettice, Lilibet, Lilith, Lucy, Luthera, Luz, Lyra, Malyna, Margherita, Marion, Meryl, Millie, Miranda, Molle, Morgana, Morgause, Nezetta, Nina, Novella, Olwen, Oriana, Oriolda, Osanna, Pamela, Petra, Philippa, Revna, Rohez, Rosalind, Rose, Sallie, Sarra, Serphina, Sif, Simona, Sophie, Thomasine, Tiffany, Ursula, Viola, Winifred, Yrsa, Ysabella, Yvaine, Zelda, Zillah
Gender-Neutral/Unisex Names
Adrian, Alex, Aiden, Arden, Ariel, Auden, Avery, Bailey, Blaire, Blake, Brett, Breslin, Caelan, Cadain, Cameron, Charlie, Dagon, Dana, Darby, Darra, Devon, Drew, Dylan, Evan, Felize, Fenix, Fernley, Finley, Glenn, Gavyn, Haskell, Hayden, Hunter, Jace, Jaime, Jesse, Jo, Kai, Kane, Karter, Kieran, Kylin, Landon, Leslie, Mallory, Marin, Meritt, Morgan, Nell, Noel, Oakley, Otzar, Paris, Peregrine, Quant, Quyn, Reagan, Remy, Robin, Rowan, Ryan, Sam, Samar, Sasha, Sloan, Stace, Tatum, Teegan, Terrin, Urbain, Vahn, Valo, Vick, Wallace, Waverly, Whitney, Yardley, Yarden, Zasha
Surnames
Surnames, Patrilineal - First Name (Patrilineal Surname)
Ace, Allaire, Appel, Arrow, Baker, Bamford, Barnard, Beckett, Berryann, Blakewood, Blanning, Bigge, Binns, Bisby, Brewer, Brickenden, Brooker, Browne, Buller, Carey, Carpenter, Carter, Cheeseman, Clarke, Cooper, Ead, Elwood, Emory, Farmer, Fish, Fisher, Fitzroy, Fletcher, Foreman, Foster, Fuller, Galahad, Gerard, Graves, Grover, Harlow, Hawkins, Hayward, Hill, Holley, Holt, Hunter, Jester, Kerr, Kirk, Leigh, MacGuffin, Maddock, Mason, Maynard, Mercer, Miller, Nash, Paige, Payne, Pernelle, Raleigh, Ryder, Scroggs, Seller, Shepard, Shore, Slater, Smith, Tanner, Taylor, Thatcher, Thorn, Tilly, Turner, Underwood, Vaughan, Walter, Webb, Wilde, Wood, Wren, Wyatt, Wynne
Surnames, Townships in G’eth - First Name of (Location)
Abelforth, Argent Keep, Barrow Springs, Barrowmere, Bedford, Brunhelm, Bumble, Casterfalls, Dunbridge, Falmore Forest, Folk’s Bounty, Frostmaid, Fulstad, Heller’s Crossing, Hertfordshire, Humberdale, Inkwater, Little Avery, Marrowton, Mistfall, Mistmire, Morcow, Necropolis-on-Sea, Otherway, Parsendale, Piddlehinton, Port Fairwind, Redcastle, Ransom, Rutherglen, Saint Crois, Tanner’s Folly, Tavern’s Point, Wilmington
Surnames, Geographical Locations in G’eth - First Name of the (Location)
Cove of Calamity, Deep Woods of Falmore, Eastern Isles, Eastern Mountains, Foothills, Frozen Peak, Lakes, Maegor Cobblestones, Northern Mountains, Southern Isle, Tangle, West Coast, Wild Wild Woods, Woods of Angarad
Surnames, Nickname - First Name the (Something)
Bald, Bastard, Bear, Bearded, Big, Bird, Bold, Brave, Broken, Butcher, Bruiser, Careless, Caring, Charitable, Clever, Clumsy, Cold, Confessor, Coward, Crow, Cyclops, Devious, Devoted, Dog, Dragonheart, Dreamer, Elder, Faithful, Fearless, Fey, Fool, Friend, Generous, Giant, Goldheart, Goldfang, Gouty, Gracious, Great, Hag, Handsome, Hawk, Honest, Huge, Humble, Hungry, Hunter, Innocent, Ironfist, Ironside, Keeper, Kind, Lesser, Liar, Lionheart, Little, Loyal, Magical, Mercenary, Merchant, Messenger, Old, Orphan, Pale, Polite, Poet, Poor, Prodigy, Prophet, Proud, Reliable, Romantic, Rude, Selfish, Sellsword, Scab, Scholar, Shield, Shy, Singer, Sirrah, Slayer, Slug, Small, Stoneheart, Swift, Tadde, Talented, Tart, Tenacious, Timid, Tiny, Tough, Traveller, Trusted, Truthful, Viper, Wizard, Wolf, Wyrm
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Jean Moreau is this song, Jean Moreau is that song... Jean Moreau is a song from the singer Pomme. She's one of my favorite singer and if Jean is close of being "Anxiété" (anxiety), or even "Ceux qui rêvent" (those who dreams). This man is the literal fucking personification of "Chanson for my depressed", fight me. This song was written by Jeremy for him.
Like "Dors encore jusqu'au jour où tout ira bien, Et moi je crois que c'est demain, Que vient le jour où tout ira bien" translates to "Sleep until tomorrow where everything is fine, And I believe it's tomorrow, That comes the day everything will be fine". And that's him. That's literally him, and I will die on that hill.
#all for the game#aftg#aftg hc#aftg headcanon#tfc#the foxhole court#tkm#trc#tsc#the sunshine court#jean moreau#jeremy knox#jerejean
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De Julian à Kieran
CORRESPONDANCE PRIVÉE : TOUTE DIVULGATION ENTRAINERA LA PEINE DE MORT
De la part de : Julian Blackthorn de Blackthorn Hall
A l’attention de : Kieran, Roi de la Cour des Ténèbres
Eh bien nous sommes revenus de la Cour des Lumières. Bonne nouvelle : nous avons la pelle à poisson. Mauvaise nouvelle : nous n’avons pas appris grand-chose et nous avons éveillé beaucoup de soupçons. Mais je serai ravi de te raconter le déroulé des événements, en espérant que ça te soit utile. J’espère aussi que tu considèreras que c’est un échange équitable contre la faveur que tu dois maintenant à un phouka. (Je suis quasiment certain que cette faveur impliquera de te demander d’acheter un chapeau.)
Nous étions assez nerveux à l’idée d’y aller, même avec l’invitation d’Adaon : la dernière fois que nous étions dans le Royaume des Fées, ça ne s’était pas bien passé. Tout n’était que fumée grise, neige, phalènes et terres qui dépérissaient. Tout ça semble être du passé maintenant, le Royaume a de nouveau l’air en pleine santé. C’était l’automne là-bas, et le sol était recouvert de feuilles, toutes rouges et dorées.
Bref, nous avons suivi les instructions d’Adaon et sommes entrés dans le Royaume par un vieux tertre dans le parc de Primrose Hill. Nous nous sommes retrouvés dans une clairière où deux immenses portes en bois émergeaient du sol. Et Adaon était là pour nous accueillir, ce qui était sympathique de sa part.
Mais il n’avait pas du tout l’air content. Il s’est précipité vers nous et nous a avoué qu’il avait dû dire à la Reine que nous venions.
- Il ne se passe pas grand-chose sous son toit, a-t-il ajouté, dont elle n’a pas connaissance. C’est pour cette raison qu’elle a la main mise sur le pouvoir depuis tout ce temps, en partie.
Il avait un regard si misérable qu’Emma lui a assuré que tout allait bien et que nous ne faisions rien que la Reine désapprouverait, ni même dont elle se soucierait. Il a vaguement secoué la tête :
- L’on ne sait jamais ce dont Sa Majesté se souciera. Ni ce qu’elle désapprouvera. Elle m’a prié de vous conduire tous les deux dans la salle du trône dès votre arrivée, et c’est donc ce que je dois faire.
Là, j’ai commencé à être un peu plus inquiet. J’ai rappelé à Adaon qu’il avait garanti notre sécurité. Il a répondu :
- Selon les lois de l’hospitalité, sans parler des Accords, elle ne peut pas vous faire de mal ni vous retenir contre votre gré, si votre but est vertueux.
Mais il a de nouveau secoué la tête.
- Laisse-moi deviner, ai-je lancé. La Reine seule a le pouvoir de déterminer si notre but est vertueux ou non.
Adaon a esquissé un faible sourire.
- Exactement.
Mais il nous a conduit vers la salle du trône.
Le thème de l’automne était tout aussi présent dans cette salle que dans la clairière. Même davantage. Mais ce n’était pas par rapport à la fin de la période de végétation, ni à la tristesse que l’été soit fini. C’était plutôt comme une célébration des récoltes. Ce que je veux dire, c’est qu’il y avait des cornes d’abondance débordant de calebasses, de pommes, de poires, d’épis de maïs. Il y avait des ballots de foin, ce qui est assez drôle parce que personne dans cette salle du trône n’a jamais fait de ballots de foin, crois-moi. Des pixies avec des ailes de papillon ardentes faisaient le tour du plafond.
La Reine était, sans surprise, sur son trône. Elle portait une robe qui était faite entièrement, je te le jure, de scarabées d’un vert étincelant cousus ensemble. Ses cheveux encadraient son visage comme une explosion de flammes rouge doré. Elle n’a plus l’air chétif et décharné, tel que la dernière fois que nous l’avions vue, et elle semblait irradier un pouvoir qui lui manquait avant.
Il y avait les groupes d’elfes habituels dispersés dans la salle – des courtisans, je suppose – commérant, gloussant, assis avec indécence. Donc tout paraissait normal de ce côté-là. Ils nous ont à peine adressé un regard. Ils ont simplement tendu le cou, compris que nous n’étions pas intéressants et repris leur flânerie.
Je m’attendais à ce que la Reine se mette tout de suite à nous insulter, mais elle était en réalité assez cordiale. Pas chaleureuse. Mais pas hostile non plus. Évidemment elle a voulu que nous la complimentions pour la décoration d’abord. Elle a désigné la salle du trône d’un grand geste de la main et entamé la conversation :
- Vous avez choisi une charmante saison pour venir nous rendre visite.
- C’est plus fun que la dernière fois, a remarqué Emma.
- Et pourtant, vous avez choisi de revenir, a commenté la Reine comme si ça la réjouissait, malgré… l’absence de fun lors de notre dernière rencontre.
- Nous n’avions pas vu notre ami Adaon depuis longtemps, ai-je déclaré. Le plaisir de sa compagnie nous manquait.
- Si telles sont vos paroles, a répliqué la Reine.
Je suppose que ça se traduit par « C’est clairement des conneries ».
- Comme vous vous en doutez certainement, je ne suis pas sans savoir que votre frère est le consort du Roi de la Cour des Ténèbres.
- Seulement l’un de ses consorts, a corrigé Emma.
La Reine l’a ignorée.
- Assurément, vous avez anticipé que je vous soupçonnerais d’espionnage.
- Nous ne sommes pas ici pour le Roi de la Cour des Ténèbres, ai-je déclaré, mais plutôt pour nos intérêts à la Cour des Lumières. Notre famille est en effet liée à la Cour des Lumières de plusieurs manières. Comme vous le savez.
La Reine m’a également ignoré.
- Votre meilleure défense, selon moi, est qu’il est si évident que l’on vous choisisse comme espions, que certainement Kieran Kingson (je pense que c’était censé être une insulte envers toi, ou moi, ou nous deux) ferait un choix plus réfléchi.
- C’est bien vrai, est intervenue Emma.
- Eh bien, a lâché la Reine. Racontez-moi une fable. Quelle est la raison de votre venue ?
J’ai pensé que nous n’avions rien à perdre avec la vérité – nous ne faisions vraiment rien dont la Reine aurait dû se soucier. Alors je lui ai raconté toute l’histoire : nous avons hérité d’une maison à Londres, la maison est maudite, nous voulons rompre la malédiction. J’ai insisté sur le fait que ni la maison ni la malédiction n’étaient liées au Petit Peuple. (Je n’ai pas mentionné Round Tom, puisque j’ai pensé que ça nous éloignerait du sujet principal.)
Pour rompre la malédiction, nous devons (entre autres choses) obtenir cette pelle à poisson. Nous avons appris qu’elle était ou avait été la propriété de Socks MacPherson le phouka. Nous sommes venus négocier avec lui pour la récupérer, et nous nous sommes arrangés avec Adaon pour recevoir une invitation parce que nous n’avions aucun moyen de contacter MacPherson directement.
- Tout ce que nous voulons, a continué Emma, c’est faire du troc avec MacPherson pour récupérer la pelle à poisson. Nous pouvons faire ça juste ici, dans la salle du trône, si l’on peut le faire appeler.
La Reine a semblé très intéressée tout d’un coup :
- Vous êtes prêt à régler cette affaire ici, sans jamais visiter la Cour à proprement parler ?
J’ai confirmé que nous partagions grandement le désir de la Reine que nous ne visitions pas la Cour.
Elle a paru surprise, mais elle a appelé l’un des courtisans et lui a chuchoté quelque chose.
- On enverra chercher le phouka, a-t-elle annoncé. Prince Adaon, quand les Nephilim auront terminé leur négociation avec lui, vous les escorterez dehors et leur donnerez congé.
Adaon a répondu par une révérence.
- Et maintenant, a repris la Reine avec un rapide mouvement des yeux, je vous prie de m’excuser, car je vois que l’on me demande.
Nous nous sommes décalés pour la laisser descendre de son trône. J’ai vu qu’un homme était entré. Je ne l’ai pas reconnu, mais c’était clairement quelqu’un d’important : il était vêtu complétement différemment de toutes les autres personnes. Au lieu de la tenue appropriée pour la Cour, il portait une cape à capuche gris-vert, et son visage était dissimulé par un masque en forme de tête de faucon. Ses vêtements étaient plus appropriés pour la chasse en forêt que pour autre chose, mais ils étaient parfaitement propres. Je ne savais pas quoi penser de lui. Mais je me suis dit qu’il valait mieux inclure sa description. Tu m’as dit de faire attention à tout ce qui pouvait être nouveau ou discordant, et je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’il l’était.
Nous avons attendu en discutant avec Adaon pendant quelques minutes avant que Socks MacPherson n’arrive. Nous avions déjà rencontré quelques phoukas avant – l’un d’entre eux est le portier du Marché Obscur de Los Angeles, comme tu t’en souviens peut-être – et j’avais pensé que MacPherson serait comme eux, mais non, c’est un type complétement différent. Il portait un immense chapeau rond en fourrure d’où dépassaient ses oreilles. C’était beaucoup pour un seul chapeau.
Il semblait surpris que la Reine nous ait laissés seuls. Il a affirmé qu’il était désolé si nous avions été tourmentés outre mesure à cause de lui. Je lui ai précisé qu’elle avait probablement eu l’intention de nous surveiller de son regard menaçant mais qu’elle avait dû partir à l’improviste. MacPherson a haussé les épaules :
- Elle croit que tout est un mouvement dans sa partie d’échecs à cinq dimensions. Mais parfois, quelqu’un veut simplement m’échanger quelque chose contre un ustensile de cuisine. En parlant de ça, j’ai la pelle à poisson.
Il avait avec lui une sorte de sac fourre-tout dont il a sorti la pelle. Tout de suite, le Détecteur de Fantômes a sonné bruyamment. MacPherson a sursauté et est allé se cacher derrière l’un des groupes de courtisans. Mais nous voyons toujours son chapeau. (Et ses oreilles qui tremblaient au-dessus du chapeau.) Alors nous nous sommes approchés et lui avons expliqué que c’était simplement un outil qui détectait les objets maudits que nous recherchions, et que le bruit était une bonne nouvelle puisque ça confirmait que la pelle à poisson était bien celle que nous recherchions. Puis les courtisans nous ont éloignés ; nous les empêchions de reprendre leur important badinage.
Socks a grommelé, c’était à parier, ce « minable Spoon » lui avait donné une pelle à poisson maudite.
- Je ne sais pas pourquoi j’ai accepté ce marché, a-t-il poursuivi. Je n’en ai même pas l’utilité. Je suis végétarien.
Il nous a enfin demandé ce que nous avions à offrir, nous lui avons annoncé que c’était une faveur de ta part et avons expliqué en quoi nous étions qualifiés pour offrir une telle chose. Il a trouvé l’offre acceptable et nous avons ramené la pelle à poisson à la maison.
En résumé : Sock MacPherson est protégé par la Cour des Lumières mais n’a pas hésité une seule seconde à accepter une faveur de la Cour des Ténèbres. La Reine reste méfiante, elle avait des soupçons sur nous. Mais il faut aussi s’en méfier parce que son comportement était étrange. C’est certain que la Cour des Lumières cache quelque chose, étant donné que la Reine a été extrêmement soulagée au moment même où elle s’est rendu compte que nous n’allions pas quitter la salle du trône pour aller jeter un œil à la Cour. Mon intuition, qui n’a pas vraiment de fondement, c’est qu’elle ne cache pas quelque chose, mais bien quelqu’un – s’il s’agissait d’un objet, sûrement pourrait-elle le cacher quelque part où nous ne pourrions pas le voir ? Mais ce n’est qu’une impression.
C’est tout. Je te suis infiniment reconnaissant, comme toujours, pour toute ton aide. Je suis sûr que tu t’attendais à plus d’informations que le contenu de cette lettre, mais j’espère que tu y trouveras une utilité.
Embrasse Mark et Cristina pour nous. Nous t’embrassons également. Et surtout, gloire à Kraig.
Julian
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/688227415184588800/julian-to-kieran
#cassandra jean#cassandra clare#secrets of blackthorn hall#sobh#the shadowhuter chronicles#tsc#shadowhunters#julian blackthorn#emma carstairs#kieran kingson#phouka#sock macpherson#seelie queen#seelie court#glory to kraig#ghost sensor
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Le boxeur Ryan Garcia a été arrêté pour vandalisme le 7 juin 2024 dans un hôtel de Beverly Hills pour avoir prétendument causé 15 000 $ de dommages. L’hôtel a porté plainte pour les dommages causés ayant conduit à son arrestation
« Hé les gars, c’est Ryan. Je viens ici pour expliquer ce qui se passe. Je ne suis pas en possession de mon téléphone, je ne peux pas accéder à mon Instagram. Mes cartes sont verrouillées. J’en profite vraiment. Personnellement, je voudrais simplement envoyer une vidéo aux gens qui m’aiment et à mes fans, à ma famille qui s’inquiète du fait que je vais bien. Je ne suis pas mort, je crois en Jésus, toutes ces rumeurs sont des mensonges », a ainsi confié le principal concerné. Il a ensuite ajouté être victime d’un complot, sans pour autant en préciser la nature : « Ils essaient de me mettre en prison, ils ont bloqué mes cartes, je n’ai pas accès à mon argent, personne ne me répond. Je ne sais pas ce qui se passe, mais sachez simplement que je vais bien. »
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The main reason for my journey to North Lanarkshire today, meet Silvanus, installed at Croy Hill in December 2020 and named after the Roman god protector of forests, fields and cattle. Three altars mentioning this name have been found along the Antonine Wall, one of them at nearby Bar Hill.
Commissioned as part of a wider Rediscovering the Antonine Wall project, this giant head of a Roman soldier is seven metres high and made of weathering steel.
Working across central Scotland, the project aims to build better connections for communities and visitors along the length of the ancient site.
It is managed by a steering group of five local authorities, including Glasgow and Falkirk.
Archaeological discoveries along the line of the Antonine Wall have determined that construction involved carved stone distance slabs which celebrated the achievements of the Roman Legions responsible for each section of the wall.
The sculpture was installed together with five replica Roman distance stones across the length of the wall, to raise awareness of the World Heritage site, you may have seen the pics I posted of the marker on Coo Wynd in Falkirk
Designed by artist Svetlana Kondakova and Big Red Blacksmiths, who are vbased at Broxburn in West Lothian.
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Gérard de Nerval's "Fantaisie": Poems of Déjà Vu (Essay)
When I was a university student, I wanted to study French Literature, so I took French as my third foreign language. Then, I attended a seminar on deciphering French poetry, and learned modern and contemporary poetry. Among them, one of the poems that left an impression on me is the following poem by Gérard de Nerval.
fantasy
There is one melody, for which I don't care if I throw it away
Rossini's, Mozart's, Weber's all.
It is very old, languid, painful,
Only to me is a survey that has the power of secret enchantment.
Somehow every time I hear it
My soul is rejuvenated two hundred years ago.
It's the reign of Louis XIII... I think I can see it.
When the sun sets, it is dyed yellow, and the green hills spread out.
Next, a brick castle built with stones in the corners,
It has a glazed glass window that shines in a reddish color.
Surrounded by a huge garden, a single stream
At its feet, it flows among the flowers.
Then a lady stood by a high window,
She has black eyes, blond hair, and her old clothes...
maybe someday in another world
who I have already met! --And that's the person who still comes to my mind!
Fantaisie
Il est air, pour qui je donneraid
Tout Rossini, tiut Mozart et tout Weber;
Un air tres vieux, languissant et funebre,
Qui , pour moi seul a des charmers secrets.
Or, chaque fois que je viens a l'entendre,
De deux cents ans mom ame rajeunit;
C'est sous Louis treize...Et je crois s'etanbre
Un coteau vert que le couchant jaunit
Puis un chateau de brique a coin de Pierre,
Aux vitraux teints de rougeatres couleurs,
Ceint de grands parcs, avec une riviere
Baigrant ses pieds , qui entre des fleurs.
Puis une dame, a sa haute fenetre her,
Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens...
Que, dans une autre existence peut etre.
J'ai deja vue! ―et don't je me souvients!
Gérard de Nerval (22 May 1808 – 26 January 1855) was a French Romantic poet of the 19th century. His poetry has elements of symbolism and surrealism and has been reconsidered since the latter half of the 20th century.
I feel that he was a pioneer of symbolic poetry and surrealism, and that he lived a devastating life. In the case of the ``fantasy'' that I mentioned this time, ``the figure of a beloved woman is traced back to the dynasty era 200 years ago, and it is a deja vu. I think most people have experienced this déjà vu more than once.
#Gérard de Nerval#rei morishita#Déjà Vu#fantasy#French poetry#symbolism#surrealism#deja vu#essay#Fantaisie
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Chapitre 7: L'attaque du Troll - Part 5
Après avoir remis en ordre la place en réparant les lieux grâce au sortilège reparo, le groupe fut appelé dans la boutique Gladrags Wizardwear. Augustus Hill le gérant de la boutique tenais à remercier nos trois étudiants pour leur courage et détermination à tenir face à la terreux, en leur offrant un habit à chacun. Bien évidemment, M.Hill ne manqua pas de complimenter la beauté de Helena qui donnait de l'inspiration à la conception de jolies tenues pour la fille. Elle était comme une muse qui méritait de magnifiques robes pour la mettre encore plus en beauté. Nolan et Sebastian soutiennent les compliments pour Helena qu’elle avait droit aussi à de belles tenues. “Merci les garçons. Cela me touche.” remercia la fille avec des pommettes roses. Une fois finit dans la boutique de vêtement, nos trois sorciers se dirigeaient en direction de la taverne de Sirona mais le regard de Nolan vu attiré sur le côté voyant un homme avec un chapeau allé dans une ruelle sombre pour y rejoindre une présence terrible. Il reconnut le gobelin Rannrok. Helena et Sebastian suivit le regard du serpentard pour voir aussi la même chose, nos trois jeunes sorciers se cachaient très vite derrière un mur et observaient discrètement la discussion dangereuse. “Tu as dit que tu te chargerais de l’enfant quand il serait à Pré-au-Lard. Que tout ce qu’il te fallait, c’était une diversion. Je t’ai donné une diversion !” dit le gobelin énervé par l'échec de Rookwood de ne pas avoir éliminé les deux Drake.
“Et j’ai vu deux gamins éliminer ta “diversion” ! Qui sont ces enfants ? Que me caches-tu ? “ rétorqua le sorcier qui était aussi énervé. Les questions avaient de quoi énerver le gobelin qui ne voulait pas répondre. “Tout ce que tu dois savoir, c’est que si tu veux pas t’occuper de l’enfant, alors tu ne m’es d’aucune utilité.” répondit farouchement Rannrok avant de sentir qu’on les observait, il tenta de chercher du regard les observateurs. “Allons-y !” dit Nolan fit vite signe à sa sœur et son ami de vite partir avant qu’on les repère. “Est-ce qu’ils nous ont vus ? - Non je ne crois pas. Que faisait ce gobelin avec Victor Rookwood ?” demanda le jeune sorcier brun, encore plus inquiet de ce qu’il venait de voir. “Rannrock est de mèche avec Rookwood? “ supposa le garçon Drake. “Je le pense aussi Nolan … “ valida sa soeur. “Le gobelin de la Gazette du sorcier ? Je savais que l'avait déjà vu. Vite. Il faut qu’on se rendre aux Trois Balais.” Empressa le serpentard qui se mit derrière Helena pour couvrir ces arrières comme un réflexe de frère protecteur. Nos trois étudiants entrèrent rapidement dans la célèbre taverne de Pré-au-Lard. “C’est un plaisir de vous voir, Lodgok. Je vous dirai si j’entends quoi que ce soit.” dit la gérante de la taverne à un gobelin au air doux. “Merci Sirona.” remercia Lodgok qui partit de la taverne en croisant la venue de nos trois sorciers. “Bon, qu’est-ce que je… Oh! Voilà deux visages qui me sont inconnus. - C’est la première fois que nous venons.
- Bienvenue. C’est moi qui régale. Je suis Sirona Ryan, la gérante des Trois Balais.” sourit Sirona “On m’a parlé de l’attaque. Cela est terrible! Je rendrai une visite aux autres commerçants dès que possible. Ravie de voir que vous n’avez rien.” Sirona était inquiète pour les autres mais en voyant que les jeunes se portaient bien, elle pensa que les autres commerçants ont pu échapper au pire.
“Grâce à ces deux-là, ils ont réussi à abattre un troll…
“Ne sois pas modeste, Sebastian. Tu nous as beaucoup aidé et participé aussi au combat. Cela nous as grandement aider à vaincre le troll.” rétorqua Nolan qui ne voulait pas que la gloire revienne entièrement à sa sœur et lui. Son ami l'avait beaucoup aidé et il méritait aussi les louanges.
“Oui. Sans toi, la victoire aurait pu ne pas se faire.” renchérit Helena avec un sourire de soutien.
“Ah Vraiment ? Bravo à vous trois alors.” la terveniste serva le trio d’une bonne boisson fraîche pour leur bravoure de quoi
“Merci c’est gentil.” remercia Helena qui avait du mal à croire l’attaque de troll. Elle qui pensait qu’avec son frère, ils allaient faire profile bas, c’est mal parti. L’attaque de troll allaient en faire parler d’eux. Mais pour l’instant, elle profita de boire tranquillement la Bièraubeurre.
“Mais de rien. Quand même… des trolls à Pré-au-Lard? ça n’était jamais arrivé. Ce n’est pas normal. Les seules brutes auxquelles on a affaire habituellement…” elle ne finit pas sa phrase quand Rockwood entra dans la taverne avec son bras droit.
“Quand on parle du loup…” dit elle avec peu d'enthousiasme
Part 6 -> ici
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Un Petit Conversation
- City of Boston, Jamaica Plain; Forest Hills Station -
Samuel: Ô, stp. Tu ne me sais pas même bien que comme ma mère fait. Reginald: Comme tes académiques ou tes actions comme un capitaine d'équipe? Samuel: Elle veut pour mes notes d'être les très meilleurs. Et même quand j'ai une nuit blanche, quand je fatiguerai, elle arrêtera le temps pour moi. Aussi, elle écrit ses messages dans mes manuels scolaires, et mes cahiers et mes papiers. Reginald: Donc, c'est vrai? Ta mère est une sorcière? Samuel: Bon, je ne veux dire pas que c'est exactement…Reginald: Je sais que les livres et les magiques t'intéressent, mais je ne savais pas qu'elle a donné son occupation et convertir ça pour être l'intérêt de son fils!Samuel: Bien, d'être vrai… Reginald: Et je remembre le temps-là quand Marusya te pris à l'école. Et je remembre le temps-là quand Marusya te pris à l'école. Quand tu ensorcelais vos formules, tu as impressionné l'école entière! Samuel: Bie—euh… bien… Reginald: Et cette orb dans ton sac à dos… Es-tu requise l'avoir? Samuel: J—Je crois que c'est le cas. Reginald: Et qu'est-ce que passer lorsque je tiens cette orb? (Reginald takes the orb from Samuel's bag) Samuel: A–Attends! Mère te possiblement voir de cette orb!Reginald: Est-ce le cas? Ainsi… Bonsoir, Mère Scélérate Bélan— Samuel: (Takes his ball back and puts it in his bag) D'accord, c'est la limite pour maintenant. Reginald: Bon, peut-être je te visite bientôt ou tard. Nous pourrons prendre le train ensemble par quantité. Par temps, souvent. (Both hear the sounds of train bells as a train arrives quickly towards the platform) Bien, j'y vais chez moi maintenant! À bientôt, Samuel! (The train starts to leave) À bientôt!!! Samuel: À bientôt, Régis Powell! À… bien—tôt… (Samuel sees his train pull in quickly to the station, then it releases a PA Call) A–A—Attends! (Samuel runs up the stairs) Attends une minute! (Continues eating his donut from Mike's Donuts, and then dashes through the fare gates, making his way to the metro and boards that train.)
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🌟 Revue / crash test : Major love - Too Faced 🌟
On ne m'a rie demandé mais ... aujourd'hui, j'ai décidé de faire un petit "tuto" makeup... oui, oui, vous avez bien lu ! 😅 Je suis pas vraiment une pro, mais j'avais envie de partager ça avec vous. La Major love est ma toute première palette de chez Too Faced (même avec toutes mes palettes, pas une Too Faced avant elle 🙄), je DEVAIS la tester ! Les couleurs sont plutôt "sobres", les fards un peu poudreux mais facile à travailler. Un gros coup de cœur pour les teintes vertes irisées qui sont crémeuses à souhait !! 🥰
Etapes :
1️⃣J'applique ma base en spray The first base spray de Beauty Bay. J'apprécie vraiment le coté rafraichissant et léger qu'elle a sur ma peau. Elle n'a pas d'effet glowy, matifiant ou autre, elle va uniquement servir de barrière à ma peau.
2️⃣Je m'occupe ensuite de mes sourcils avec le Lift & Snatch teinte Espresso de NYX. J'ai pas mal de trou à combler dans mes sourcils, je cherche principalement à les combler avec et je les fixe ensuite avec le Clear brow gel - Anastasia Beverly Hills. Ce n'est pas un gel qui va servir à plaquer les poils, attention, il va simplement les "maintenir" en place.
3️⃣Pour les yeux, je procède en 2 étapes. Je commence par appliquer le fard crème No budge cream eyeshadow teinte Dune de chez ELF, puis le fard Squad goals dans l'ensemble de mon creux de paupière. Dans le coin externe, je mets le fard Surrender your love pour intensifier mon regard sans le durcir et en coin interne et l'espace restant de ma paupière mobile le fard On duty. On passe ensuite à l'eyeliner que je fais avec le Hydraliner Doodles (noir) de SUVA beauty, dilué avec Duraline de chez Inglot qui va le rendre waterproof. On finira les yeux après le teint !
4️⃣Pour le teint, je commence par appliquer sur mon dessous d'œil le Banana Bright+ Vitamin CC Stick de chez Olehenriksen qui va illuminer et hydrater le contour de l'œil avant le concealer. Je continue avec le concealer nouvellement sortie de chez Fenty, le We're even en teinte 220W. Hydratant, il ne me fait pas d'effet craquelé ou desséché sous l'œil (bon par contre il n'est pas creaseproof même une fois fixé...) et je le travail au pinceau pour un rendu plus léger sur les zones que je veux illuminer. Depuis peu, j'ai envie de faire du contouring/bronzer, j'applique donc le Sculting touch stick teinte 200 de chez KIKO (je ne crois pas qu'il sois Acné safe, car j'ai eu plusieurs boutons sur les zones où je l'ai appliqué ...). L'étape du blush ! C'est mon chouchou en ce moment : le stick teinte Blossoming de Sophia+mabelle. Le coté irisé va illimuner encore plus mon teint. Je poudre le tout avec la poudre libre Baby bake teinte Pound cake de Huda Beauty (elle a une odeur ... de parfum de grand-mère mais heureusement elle s'estompe vite). L'application à la houpette me permet de bien presser la matière pour matifier à long terme ma peau grasse. Puis on se débarrasse de l'excédent en balayant avec un gros pinceau !
5️⃣On termine les yeux à présent ! En ras de cil, j'applique le même fard que dans mon coin externe puis le Shadowstick en teinte Sip&sparkle de Fenty en point de lumière en interne. On termine enfin avec le mascara Hella thicc de Fenty pour les cils supérieurs (j'adore vraiment son effet!!) et le Cils sensational de Maybeline pour les cils inférieurs (sa brosse est vraiment idéale pour les tout petits cils).
6️⃣On boucle le teint avec une touche de blush teinte 1 de chez Makeup revolution et la teinte Glow en highlighter de la palette Mrs. Bella goldies de chez BH cosmetics.
7️⃣Dernère étape : les lèvres ! Je trace le contour avec le crayon Lipliner teinte Spice de chez Primark, je rempli avec le liquidmat Lolita de KVD et je termine avec le Clear gloss d'Anastasia (je mets rarement du gloss par dessus mon RAL mais j'aime bien l'effet, j'avais peur du transfert mais ce n'est pas arrivé !! )
Un dernier coup de spray fixateur le Mist&fix de chez Makeup Forever, et VOILA !! 🤗
Avez-vous déjà tester les palettes Too Faced ? Lesquelles préférez-vous ? et que pensez-vous de mon makeup ?? 🥰
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Icebreaker, Hannah Grace
Anastasia est patineuse artistique dans l’université de Maple Hills, et elle ne vit que pour gagner. Son agenda est ratarempli, elle n’a le temps pour aucun imprévu. Et à côté, Nate est capitaine de l’équipe de hockey de la fac et croque la vie à pleine dents. Quand un la patinoire de hockey est détruite suite à un imprévu, ils n’ont pas d’autre choix que de s’adapter et partager une seule patinoire, aux risques et périls de chacun.
J’avais envie de lire de la romance en ce moment, Icebreaker m’intriguait et ma sœur me l’a chaudement recommandé. Alors en soi j’ai bien aimé ma lecture, ça m’a fait du bien pour ce côté « lecture détente » mais je crois vraiment que je ne suis pas le public cible ! Je l’ai lu en français, ce qui a peut-être participé au côté super-cringe-par-moments de ce roman. J’ai bien aimé l’histoire classique du enemies to lover, mais GOSH Anastasia est vraiment casse-couilles. Et ridicule. Nathan, ça va, dans le genre politiquement correct et golden retriever... Bref, l’histoire en elle-même, ÇA VA, la romance, ça va, mais alors le smut ? Pardon mais ? Il y en a vraiment BEAUCOUP. Et c’est cringe. Enfin, c’est surtout le dirty talk qui était méga CRINGE. Heureusement (encore heureux), c’est une romance smut basée sur le consentement, pas de dark romance à deux balles et ça c’est bien. Par contre niveau éducation sexuelle pour les ados (parce que ne nous mentons pas, le public cible c’est elleux) y’a carrément mieux, et de LOIN. Ah et dans les choses qui m’ont dérangée, il y a aussi beaucoup trop de jalousie hyper toxique et malsaine entre Anastasia et Nathan, sans compter que encore une fois y’a plusieurs scènes explicites entre eux qui sont vraiment vraiment cringe. Ou alors je sais pas c’est moi qui préfère uniquement le côté romance ? Sinon pour remonter un peu le niveau, certains personnages secondaires sont vraiment cool (Henry, toujours), et j’ai vraiment apprécié de voir les deux points de vue des protagonistes. Donc, ouais, bilan plus que mitigé : c’était sympa pour une lecture détente, mais niveau smut faut oublier… à moins de lire les scènes en grinçant des dents ?
14/01/2024 - 15/01/2024
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Roman Distance Stone Replica, Antonine Wall, Croy Hill, Scotland
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🟢♥️ SEREZ-VOUS TRAHI SI VOUS Y CROYEZ ?!
les cornes sont attirées par votre subconscient et non par votre raison, par vous, par votre volonté !
Ne me crois pas!
c'est comme ça, c'est pour ça qu'il y a des gens sans cornes et pourtant ils valent moins que toi !
Il était une fois, il y a 39 ans, je croyais au destin et je blâmais toujours les autres, même pour des problèmes comme les cornes !
Aujourd'hui je pense que rien n'arrive par hasard et qu'être trahi en amour commence par notre pilotage automatique et non par notre volonté, sans si ni mais !
Nous, moi, vous, nous attirons tous ce que nous pensons inconsciemment et non ce que nous voulons !
Réfléchissez et méditez sur cette dernière phrase !
Si la télévision, les films, les programmes, les informations, les amis, les proches nous convainquent inconsciemment que nous allons être trahis et que notre subconscient s'imprègne de ces images, même lorsque nous sommes enfants, eh bien, tôt ou tard, cela arrivera !
La bonne nouvelle est que vous pouvez trouver la solution et convaincre votre subconscient de ne pas imaginer les cornes grâce à une véritable hypnose DCS professionnelle, unique au monde !
Le choix vous appartient uniquement !
si vous les avez vraiment tous essayés et n'avez aucun fait, combien cela vous coûte-t-il d'essayer l'hypnose DCS réelle et professionnelle à Los Angeles Beverly Hills, même en commençant avec un seul audio DCS qui est pour votre bien et celui de votre proche ?
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Chalfant Methodist Episcopal Church
Township Road 64B and County Road 439
Wakatomika, Ohio 43821
Chalfant Church is a historic church located on the northwest corner of the intersection of Township Road 64B and County Road 439 south of Warsaw, OH, off State Route 60 in Washington Township, Coshocton County, Ohio. It was the first church in the county; the county was formed in 1810. The current building, built in 1893, was built on the site of the first church building. It has been suggested to be the finest rural church in its county. It is a wood frame "Victorian Gothic" building, built on a sandstone foundation with a cross-shaped plan. It has intersecting slate-covered gable roofs. A small cemetery rises up a hill behind. The church was added to the National Register of Historic Places on March 15, 1982.
Chalfant Methodist Episcopal church is the oldest religious society in the county, and it erected the first church building within the limits of the county. It was organized on the Cass section, in Muskingum County, about 1808, by William Ellington, who became the first minister. About 1811, it was determined to erect a house of worship, and the site of the present church, in the northwest corner of Mordecai Chalfant's section, was selected as the spot whereon to build it. The contract for building it was let to William Barcus, who afterward removed to Roscoe, then living in this vicinity, and, in 1811, it was begun. Before it was finished, Mr. Barcus was called to serve his country, in the frontier army, and the building remained unfinished, in consequence, until 1815.
A Sunday-school was started about 1822 and has been in operation with a fair degree of regularity ever since. During the early period of the church's history preaching was held entirely on "week days" and Sunday was given wholly to the Sunday-school. The members would start to the school early in the morning, taking their dinners with them, and remain in session all day. Unlike most country Sunday- schools it is conducted throughout the entire year. The old meeting-house, a hewed-log structure, stood until 1849, when it was replaced by the building now in use, which is a frame, thirty by forty feet in size. It was built by Jacob Croy, who took the contract for $500, and, it is said, lost money by the operation. The church was repaired about ten years ago. This society has sent out into the ministry sixteen preachers. The membership is about 125. The average attendance is about seventy-five.
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[INTERVIEW] YOUTH LAGOON
Huit ans après son précédent album ‘Savage Hills Ballroom’ (2015) sous le nom de Youth Lagoon, Trevor Powers réactive le projet avec l’excellent ‘Heaven Is a Junkyard’ à paraître le 9 juin. For the English version, it’s over there.
Avant toute chose, comment vont tes deux chiens Walter et Wilson ? Trevor : C’est si gentil de vous en souvenir. Ils vont bien. Wilson est vieux, souvent fatigué et sent fort mais Walter a une belle allure et se sent au top de sa forme. Ses aboiements sont démoniaques par contre. Je les aime profondément mais notre relation est compliquée. Walter aime se blottir contre moi à 4h du matin. Wilson a peur des hoquets et des bruits de film plastique.
Le projet Youth Lagoon est de retour ! En 2018, tu disais que tu étais « dans un état d’étranglement » avec ce projet. Peux-tu nous en dire plus sur ce nouveau départ avec Youth Lagoon ? Pourrais-tu définir de quelle façon les projets Youth Lagoon and Trevor Powers sont distincts pour toi ? Trevor : Cela a été un étranglement pour moi pendant des années. Principalement parce que je laissais m’énerver ceux qui voulaient que je fasse de la musique qui ressemblait à mon premier album [‘The Year of Hibernation’ sorti en 2011]. Ce n'est pas comme ça que je travaille. Si je n'ai rien de nouveau ou d'intéressant à dire, je me tais. J'ai commencé à me sentir comme un de ces petits singes en jouets avec des cymbales et tout ce que les gens voulaient que je fasse, c'était que je frappe ces cymbales. Alors j'ai “brûlé la maison”. Je ne ferai jamais le même album deux fois ou ne ferai rien en quoi je ne crois pas. Quand j'ai laissé le nom Youth Lagoon derrière moi, c'était la première fois que je sentais que je pouvais vraiment respirer depuis la création de ‘Wondrous Bughouse’ (2013). ‘The Year of Hibernation’ (2011) et ‘Wondrous Bughouse’ (2013) étaient purs. Sur ‘Savage Hills Ballroom’ (2015), c’était moi qui essayais de trouver mon chemin mais qui m’agitais dans tous les sens. J'ai fait des choix auxquels je ne croyais pas. Je ne savais plus qui j'étais. J'ai dû tuer le nom Youth Lagoon parce qu'à cette époque, c'était la seule façon de grandir. Quand j'ai enregistré ‘Mulberry Violence’ en 2018 sous mon propre nom, j'ai eu l'impression de me connaître à nouveau. Cela m'a permis de grandir un peu. Ça a continué avec ‘Capricorn’ en 2020. Je suis tellement fier de ces albums. C’était comme retourner à l'université pour moi. J'ai failli perdre ma maison pour financer ‘Mulberry Violence’ (2018). Je le referais sans hésiter une seconde. Je préfère mourir pauvre en sachant que j'ai fait les choses pour les bonnes raisons plutôt que riche en faisant tout ce en quoi je ne crois pas. La vie au cours des deux dernières années m'a détruit et m'a reconstruit. La douleur a été mon plus grand enseignement. J'ai réalisé que la chose la plus vraie et la plus effrayante que je pouvais faire était de rassembler ces morceaux de moi-même que j'avais jetés et laissés pour morts et d'en faire quelque chose de nouveau. Youth Lagoon était l'une de ces pièces. J'ai commencé à reconstruire cette maison que j'avais brûlée il y a des années, mais cette fois, elle avait l'air différente. Chaque morceau de bois que j'ai cloué avait une nouvelle sorte de beauté.
Le titre du nouveau disque est ‘Heaven Is a Junkyard’. C'est une phrase que tu utilises également dans les paroles à la fin du morceau The Sling. Le communiqué de presse indique que tu as écrit cette phrase dans ton carnet après avoir vu la ferme d’un voisin prendre feu. Peux-tu nous en dire plus sur ce titre ? Trevor : C'est drôle comme cela reflète bien ce que je disais juste avant à propos de ma propre vie. Quand j'ai écrit cette phrase, je n'étais même pas sûr de ce qu'elle signifiait à l'époque. Je savais que cela avait beaucoup de poids, mais je continuais à lutter avec ces mots en essayant de les comprendre. Cette phrase était une énigme que je ne pouvais pas sortir de ma tête. Puis j'ai réalisé que je n'ai pas besoin de donner un sens à cela. Cela m'est venu comme un rêve, il faut donc l'accepter comme tel. Dès que j’ai écrit cette phrase, j'ai su que cela devrait être le titre de l'album. C'était exactement comme la musique que j'écrivais. C'était vrai. Tout mon processus de création se résume à des accidents et des antonymes. Selon moi, c'est de cet espace que vient tout ce qui est juste. Et cette phrase ‘Heaven Is a Junkyard’ [‘le paradis est un dépotoir’], a coché ces deux cases.
Lors de la réalisation du disque, tu as apparemment mis de côté l’équivalent de deux albums et demi de chansons parce qu’ils n’étaient « pas honnêtes ». Quelles ont été les premières idées que tu as eues et gardées pour ce nouveau disque ? Trevor : Deep Red Sea, Mercury et Little Devil from the Country étaient toutes des idées que j'avais eues il y a des années dans leurs premières formes mais je ne les avais pas terminées à l'époque. Elles étaient là entre tant de mauvaises idées que je ne pouvais pas vraiment les voir pour ce qu’elles étaient. Ce n’est qu’après avoir fait quelques percées avec d’autres chansons et avoir vraiment construit une identité pour ce disque que certaines de ces idées plus anciennes ont commencé à prendre une nouvelle vie. Une grande partie de ce que j’écris ne voit jamais la lumière du jour. Cela doit être ainsi.
En octobre 2021, tu as apparemment eu une réaction médicamenteuse si grave que tu perdu plus de 15 kilos et tu as dit que tu « n’étais pas sûr de pouvoir à nouveau parler et encore moins chanter. » Tu sembles évoquer cet événement sur le morceau Trapeze Artist : « My voice is gone and it used to be so strong. » Peux-tu nous le confirmer ? En quoi cela a-t-il influencé le disque ? Trevor : Oui, cette phrase dans Trapeze Artist est une référence directe à ça. Toute la chanson en est une en fait. Aucun médecin ne pouvait m'aider, j'étais donc vraiment seul. C'était un cauchemar absolu mais un cadeau en même temps. Cela m'a appris à m'aimer. Mon corps guérit de plus en plus chaque jour. Dire que cet événement a influencé le disque serait un énorme euphémisme. Ce disque n'existerait pas sans lui. La souffrance m’a montré le chemin.
Crédits photo : Tyler T. Williams
Le disque traite beaucoup plus de ton environnement que dans tes albums précédents. Le communiqué de presse indique qu’il s’agit d’un « portrait de l’Ouest américain hanté par Dieu ». On se souvient que tu as un tatouage Idaho sur ton bras et on a même vu qu’il existe une version exclusive à l’Idaho du vinyle ! Ton cœur appartient-il à l’Idaho ? Trevor : Je ne dirais pas que mon cœur appartient à l’Idaho mais cet Etat me tient définitivement à sa portée. L’Idaho est magnifique et a toujours quelque chose à me dire quand je fais très attention. Pendant des années, toute mon inspiration est venue d'endroits lointains. Je pensais que c'était seulement dans ces endroits que quelque chose pouvait sonner ou paraître important. Je me concentrais sur toutes les mauvaises choses. Rien ne compte dans l'art sauf la vérité. Partout où est la maison, la vérité est aussi.
Les paroles de ce nouvel album ressemblent vraiment à des histoires que tu racontes. Tu cites beaucoup de prénoms dans les différents morceaux, comme Eugene, Billy, Dolly ou encore Bobby. S'agit-il de personnages réels ou fictifs ? Quelle est la part de fiction dans les paroles ? Trevor : Certains personnages sont basés sur des personnes que je connais, d'autres sur des personnes que j'ai rencontrées dans des stations-service ou des supermarchés ou qui errent dans les rues sans but, d'autres sont complètement imaginaires et le reste c'est moi. Cependant, dans tous ces personnages, il y a un peu de moi-même. J'adore jouer avec des personnages. Cela rend les choses d'autant plus efficaces et choquantes quand il y a une citation directement de moi. Comme dans Idaho Alien : “I don’t remember how it happened. Blood filled up the clawfoot bath and I will fear no frontier.” Ces mots m'ont fait pleurer quand je les ai écrits parce que c’était exactement ce que je ressentais. Je ne voulais pas vivre à l’époque. Mon corps ressemblait à une putain de prison. Mais en fusionnant cela avec cet esprit de western, tout cela m’a paru bizarrement guérissant. C’est exactement pour ça que je fais de la musique. Ce n'est pas pour gagner de l'argent, vendre des albums, devenir célèbre ou même jouer des concerts. En fin de compte, c'est juste un mécanisme pour parler avec Dieu et nourrir mon âme.
Il y a un thème récurrent lié la guerre sur l’album. Plusieurs occurrences on apparaissent à travers les morceaux : * Rabbit : « Just a bullet from the war. » * Prizefighter : « Tommy left for war with no goodbye. » et « I got a war that I can’t fight. » * Deep Red Sea : « Ready and waiting for war. » * Trapeze Artist : « Bobby at war. Maybe I’m ready. » Peux-tu nous en dire plus sur ce sujet ? Trevor : Je me suis senti attiré par ce sujet de la guerre parce que c’est quelque chose qui est partout. Je suis convaincu que la raison pour laquelle une personne est en guerre avec quelqu’un d’autre est que cette personne est en guerre avec elle même. C’est de là que tout commence. L’idée de guerre est tissée dans notre ADN et cela pousse constamment la société vers le bord de la destruction. Ce n'est que lorsque nous pouvons dépasser notre subconscient et commencer à définir le traumatisme que nous avons caché au fond de notre psyché que nous pouvons enfin avancer vers un univers d'harmonie. Cette poussée et cette traction que nous avons en nous - chaos et paix / violence et douceur / dépendance et maîtrise de soi - informent tout mon travail.
Le morceau d’ouverture s’intitule Rabbit et mentionne un personnage du nommé Alice. Est-ce une référence à ‘Alice au pays des merveilles’ ? On peut aussi entendre une jeune fille parler au milieu de la chanson. Qui est cette jeune fille et que dit-elle ? Trevor : Cela n’a jamais été fait pour être une référence à ‘Alice au pays des merveilles’ mais le fait que cela est arrivé par accident a été un signe divin. J’ai écrit le nom d’Alice parce que je trouve que c’est le plus beau prénom qui soit. Après avoir écrit les quelques premières lignes, je suis sorti me promener et j’ai vu un lapin blanc caché derrière un buisson. Il m’a regardé avec des yeux qui faisaient comme s’il comprenait quelque chose que je ne comprenais pas. Quand je suis revenu chez moi, le reste de la chanson s’est mis en place naturellement. J’ai eu cette idée d’un lapin guidant l’album, donc j’ai voulu mettre ce morceau en ouverture. Mon processus est très chaotique mais dans tout cela, je ressens une orientation surnaturelle et extérieure. Je n’ai même pas envie de trop disserter sur cela parce que je ne veux pas que cela puisse nuire à l’idée que j’en fais. Pour ce qui est de la jeune fille qui parle sur Rabbit, c’est ma nièce Freya qui a 5 ans. Elle a la voix la plus mignonne au monde. Un jour après être allé la chercher à l’école, elle m’a parlé d’une visite chez les docteur qu’elle avait faite et rien de ce qu’elle me racontait faisait sens. Donc bien sûr je l’ai enregistrée. C’est donc elle essayant de m’expliquer sa visite de routine avec Dr Frisbee. (Rires)
Il y a un morceau instrumental intitulé Lux Radio Theatre. On a fait nos recherches et c’est apparemment une anthologie radio d’émissions qui faisaient des adaptations de spectacles à Broadway puis de films. Cela a été diffusé pendant plus de vingt ans et cela ensuite continué à la télévision pendant la plus grande partie des années 50. Peux-tu nous en dire plus à propos de cette chanson ? Trevor : J’aime le fait que vous ayez lu à propos de cela. Ma grand-mère avait l’habitude d’écouter Lux Radio Theatre et elle m’en a parlé. J’ai senti un peu de son esprit dans cette chanson donc je l’ai intitulée comme cela en son honneur. Quand j’ai apporté cette démo à Rodaidh McDonald et que l’on s’est mis au piano, tout a changé. Rod a aussi eu l’idée de faire passer toute la chanson dans une pédale de guitare. On a ensuite utilisé ce mix de pédale de guitare pour entrer et sortir de la chanson. Quelque part sur son ordinateur, il y a encore ce mix de pédale de guitare complet qui sonne de façon complètement fou !
Tu as sorti trois vidéos jusqu’à présent : Idaho Alien, Prizefighter et The Sling. Sont-elles connectées entre elles ? Trevor : Il y a effectivement un lien entre ces vidéos. Mon meilleur ami Tyler T. Williams les a toutes réalisées. On a passé le temps le plus drôle de notre vie à les faire. On avait avec nous une équipe complète d’amis et on avait réservé ce grand Airbnb qu’on a fini par mettre sens dessus dessous pour le transformer en plateau de tournage. Cela n’a assurément respecté aucune des règles Airbnb. (Rires) A un moment, on a même eu des lumières de plateau qui se sont tournées vers le quartier et l’allée du fond à 1h du matin mais par miracle personne n’a appelé la police. On a aussi beaucoup filmé dans le hall de la piscine locale et dans quelques-uns de nos endroits préférés dans la ville. Il y avait de la magie dans l’air toute cette semaine. On pouvait le voir sur le visage de tout le monde.
Crédits photo : Tyler T. Williams
Tu as l’air d’être un fan du réalisateur Gus Van Sant. La vidéo de Idaho Alien nous fait penser à son film ‘My Own Private Idaho’ (1991), avec le même État de l’Idaho et River Phoenix marchant sur une route vide comme tu le fais. La chanson Prizefighter a apparemment été écrite alors que tu regardais une VHS de son film ‘Drugstore Cowboy’ (1989) et tu as mentionné aimer son film ‘Gerry’ (2002) dans une interview en 2011 pour Pitchfork. Peux-tu nous en dire plus sur ta relation avec le travail de Gus Van Sant ? Trevor : Je suis un énorme fan de films en général. Je fais des recherches sur les films en permanence. Gus Van Sant, Andreï Tarkovski, Jim Jarmusch, Sofia Coppola, Spike Lee, Wim Wenders, Stanley Kubrick, Federico Fellini, etc. La liste des cinéastes qui m’obsèdent est beaucoup trop longue. La même chose pour les films animés. ‘Akira’ (Katsuhiro Ōtomo, 1988) et ‘Perfect Blue’ (Satoshi Kon, 1997) sont deux des meilleurs films de tous les temps. C’est beaucoup plus facile pour moi de trouver l’inspiration dans les films que dans la musique des autres.
Est-ce que tu pourrais nous recommander des artistes que tu écoutes en ce moment ? Trevor : Récemment j’ai beaucoup aimé Suicide, Sheila Chandra, crushed, Anadol, Crack Cloud, Popol Vuh, Clara Rockmore, Nala Sinephro, Ramsay Midwood, UMAN, Rezzett et Bruce Springsteen. Tu viens d’être annoncé au Pitchfork Festival Chicago en juillet. Est-ce que tu vas faire une tournée ? Joueras-tu avec d’autres personnes sur scène ? Trevor : Je vais assurément faire une tournée. Je prends un avion ce matin pour Austin au Texas pour commencer à construire le live. Je suis à la fois excité et horrifié de la meilleure des façons de voir comment cela va se combiner. Je ne serai pas seul sur scène, on sera trois. Cela devrait bien rendre quand on aura tout mis à plat.
Crédits photo de couverture : Tyler T. Williams Le nouvel album ‘Heaven Is a Junkyard’ de Youth Lagoon est prévu pour le 9 juin. Il est hautement recommandé ! L’artiste se produira le lundi 6 novembre à l’Eglise Saint-Eustache en ouverture du Pitchfork Music Festival Paris. Evénement : https://bit.ly/41xups5 Billetterie : https://bit.ly/4307vLt A&B
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On February 21st 1842 Scotland’s first inter-city railway, the Edinburgh-Glasgow mainline, opened to regular traffic.
The building of a railway between the two cities was authorised by an Act of Parliament in 1838 following several years of public discussion.
Construction work on the 46-mile line took almost four years. It was no easy task. To ensure a level route, numerous cuttings were dug, four viaducts were built and three tunnels were driven through hills and solid rock. Members of the public were invited to walk through the Queen Street tunnel on New Year’s Day 1842 to satisfy growing interest in the project. The line opened to regular services on 21st February that year, following a ceremonial opening of the station three days earlier, as I posted on Sunday.
The railway put an end to the slow and cumbersome stagecoaches that had linked Glasgow and Edinburgh for more than a century, and would eventually drive business away from the canal network as well.
The project’s engineers had wanted to build a bridge over the Forth and Clyde canal – but the canal’s owners refused. A tunnel under the waterway had to be constructed instead.
The Scotsman reported in February 1842 that “it rarely happens that a railway can be brought into the centre of a great city”, as it announced the opening of Queen Street station in Glasgow. But the original Edinburgh terminus at Haymarket was greeted with rather less enthusiasm. It was hoped that eventually the train line would stretch further into Edinburgh.
An extension to North Bridge was duly completed in 1846, and work on building the present Waverley station began in 1868.
The line was popular with passengers from the beginning. Initially, four services travelled in each direction from Monday to Saturday. Controversially, two services also ran on Sundays – provoking strong opposition from Sabbatarians. The number of trains throughout the week quickly increased.
Passengers could choose to alight at many more intermediate stations than today – with stops at Gogar, Ratho, Winchburgh, Linlithgow, Polmont, Falkirk, Castlecary, Croy, Kirkintilloch (later Lenzie) and Bishopbriggs. The Edinburgh & Glasgow Railway Company which built the line was absorbed by the North British Railway (NBR) in 1865. The NBR would in turn be absorbed by the London & North Eastern Railway in 1923.
There have been several high-profile train crashes on the route over the years. The most recent occurred on 30th July, 1984, when a rush hour commuter service out of Waverley struck a cow that had wandered on to the tracks near Polmont from a nearby field. The collision caused all six carriages to derail, killing 13 people and injuring 61 others.
The worst accident, in terms of loss of life, took place on 10th December, 1937, at Castlecary. During a snowstorm, the 5.30pm Waverley to Queen Street express collided with a late running local train from Dundee to Glasgow. The locomotive hit the rear of the standing local service at the now-closed Castlecary station at an estimated 70mph. Four carriages were completely destroyed by the collision, killing 35 passengers and injuring 179 more.
The £742m Edinburgh Glasgow Improvement Programme (EGIP) is the biggest project on the route since it was built 174 years ago. It will eventually see all-electric trains operating on the line, with faster journey times and more seats for passengers. The average journey time by train between Glasgow and Edinburgh (Waverley) is now 1 hour and 14 minutes, with around 191 trains per day.
A new passenger hall at Haymarket station opened in 2014, while Queen Street was recently comprehensively rebuilt.
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